Manga is a popular form of Japanese comics and manga artists are often considered to be some of the most highly paid professionals in the industry. According to Forbes, the top five earners in the manga industry are J.D. Salinger, Shigeru Miyazaki, Hideaki Anno, Yoshihide Suga and Satoshi Kon with an annual income of $US250 million. The popularity of manga has led to its own industry, which is worth an estimated $US1 billion a year. Manga has been around for over 50 years and its popularity is only increasing. It is a popular form of Japanese comics that can be enjoyed by both children and adults.
Deux hommes armés le gardent. Elle se souvient avoir été droguée et traînée là-bas par deux hommes armés après avoir refusé d’épouser un seigneur local.
Avec son armée d’hommes, le sinistre Julius (Dominic Cooper), s’est emparé du palais et est déterminé à prendre la couronne.
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Il a enfermé le vrai roi (Ed Stoppard), la reine (Alex Reid) et sa fille cadette Violet (Katelyn Ros Downey dans une cellule. La princesse, qui a été formée comme soldat par Linh (Veronica Ngo), doit maintenant faire son chemin en bas de sa tour, combattant des hordes de gardes armés le long du chemin.
CE THRILLER MÉDIOCRE EST SOUTENU PAR L’ACTION ET LES COMBATS
« Quelqu’un doit t’enseigner ta place. « Je l’ai déjà entendu. » C’est le premier des nombreux dialogues ringards que la princesse utilise pour nous présenter son récit centré sur les femmes. Il aspire à être au moins.
Le réalisateur Le-Van Kiet est un homme avec une idée singulière. Violence et meurtre impitoyable jusqu’à ce que vous en ayez assez de voir les corps tomber au sol. Ceci et l’apparence d’un complot pour trouver un terrain d’entente entre le mal et le bien ne sont que deux exemples. Il n’y en a pas.
La princesse a pour mission de sauver sa famille du dictateur et mégalomane Prince Julius. Cependant, elle doit se frayer un chemin à travers une mer pleine de soldats sauvages pour se rendre à la tour. Joey King joue le personnage principal. Dominic Cooper et Veronica Ngo sont des seconds rôles.
Les premières minutes de la vidéo sont assez impressionnantes. Le cadre de King’s Princess (jeu de mots), est plein d’excitation et d’anticipation pétillante de ce qui nous attend. Elle combat les hommes alors qu’elle est encore enchaînée. C’est un schéma qui se poursuit tout au long du film.
The knight, tall and strong with a mountain-like build, then takes cover under the water. She slips through corridors to discover Julius’ true plans amid the chaos, looting, infighting and pillage. Hulu’s “The Princess” continues to trundle along a straight line. Kiet never loses focus and, surprisingly, finds innovative ways to present the battles. The charm never fades until the end.
The film’s title, “The Princess”, is intended to showcase King’s extraordinary abilities to pull off daring stunts even experienced veterans wouldn’t be able to. It is a function of “convention turning on their heads” that reinvents the cultural image and role of a princess.
Thornton and Lustig suck away any vulnerability and softness from the archetype, and replace it with bloody rages and violent edges. King may not look like the role, but that isn’t the point. King fights with the grace and heart of a dancer and the strength of a warrior. Even in her slowing, uncomfortable white gown, her defenses seem impassible. It was important to create a film that combines period settings with modern sensibilities. This was accomplished in a fast-paced narrative. This reality never comes true.
Although its remnants can be found in various parts of “The Princess”, they never seem to come together in a coherent way. Kiet’s Hollywood debut is a result of bone-crunching movies like ‘Furie’ and ‘The Requin.
Il existe de nombreuses similitudes entre les deux projets. Mais, pour une raison quelconque, il n’est jamais capable de s’affirmer dans l’histoire. Les actions féroces les plus difficiles à exécuter par l’équipe et les acteurs compensent son incapacité à saisir le sens de l’histoire. Malgré tous les déboires, j’ai apprécié les scènes. Il est difficile de prédire ce qui va se passer, mais c’est toujours une joie de regarder le déroulement.
Nous ne sommes jamais ennuyés par l’utilisation intelligente de l’espace et des hommes. Il manque de texture dans ses idées créatives. Ces idées manquent tellement de texture qu’on pourrait penser que le scénario n’est toujours pas terminé et que Kiet n’a eu d’autre choix que de créer la seconde moitié.
L’écriture manque de profondeur et n’ajoute aucune valeur au travail solide effectué par l’équipe de cascadeurs. La princesse n’est pas la seule à pouvoir bousculer les traditions de la tradition et établir un nouvel ordre. Kiet semble être obsédé par la culture et le contexte, tandis que Kiet semble moins concerné. On ne sait pas comment la princesse est entrée dans la tour ou comment les murs du royaume ont été accédés par quelques hommes.
« The Princess » est un problème de streaming courant. Celles-ci deviennent lentement une épidémie. C’est un film très regardable, mais à peine. Ce film parle d’action et de combat. Les plaisanteries féministes et la capacité du genre à résister sont dépassées et trop complaisantes pour s’y engager pleinement.
